65 choses à savoir sur le prophète Mohamed, paix et salut sur lui !

Quel était le comportement du sceau des prophètes Mohamed, paix et salut sur lui, avec ses proches et ceux qui le croisait ? C’est un sujet si large tant il était en contact avec énormément de personnes dans sa vie conjugale, sociale, et politique, qu’un seul article ne saurait englober dans les moindres détails le superbe caractère qu’il avait. Ce sont les traits d’un comportement qu’Allah Lui-Même qualifié de “grandiose” dans le verset de la sourate. Des nobles aspects de son comportement unique nous allons énumérer des actes aimés de lui et des habitudes qui pourront sembler être des généralités pour certaines personnes mais qui resteront à jamais des objectifs de vie à atteindre pour toute une communauté.  

Que chacun de vous lise ces quelques lignes, en se posant quelques questions. Que celles qui reviennent le plus parmi vos interrogations soient par exemple :

  1. Est-ce que je fais pareil par amour pour lui ?
  2. Est-ce que j’essaie de lui ressembler ?
  3. Est-ce qu’il y a quelque chose que je peux modifier en moi pour atteindre ce haut niveau de comportement ?

Nous sommes d’accord, le prophète, que la paix et le salut d’Allah soient sur lui, était le sceau des prophètes, d’une constitution parfaite car lavé de tous défauts humains. C’est un fait mais son amour pour nous alors qu’il ne nous a pas encore vus ne vaut-il pas la peine d’essayer de lui ressembler ?

En effet, d’après Anas Ibn Malik, qu’Allah l’agrée, le prophète Mohamed, paix et salut sur lui, a dit :

« J’aurais aimé rencontrer mes frères ! »

Les compagnons lui demandèrent : «  Ne sommes-nous pas tes frères ? » Et il, paix et salut sur lui répondit : «  Vous êtes mes Compagnons et mes frères sont ceux qui croiront en moi sans m’avoir jamais vu ». Rapporté par Ahmed

Voici la liste de caractères pour nous inspirer de lui, paix et salut sur lui.  

65 traits de comportements généraux du prophète Mohamed

  1. Il était la meilleure personne ayant foulé la Terre et la plus facile à vivre.
  2. Il ne fronçait jamais les sourcils et ne montrait jamais des signes d’agacement
  3. Son rire était plus un sourire qu’un rire
  4. Il ne se faisait jamais servir
  5. Il ne mangeait jamais rien sans partager avec quelqu’un
  6. Il ne rabaissait ni ne blessait personne
  7. Il était au service des autres
  8. Il se portait toujours volontaire pour effectuer les tâches que tout le monde refusait
  9. Il ne faisait jamais de reproches (pourquoi as-tu ou n’as-tu pas…?)
  10. Il ne refusait jamais ce qu’on lui demandait tant que cela ne transgressait pas les Lois d’Allah) Une petite fille le tirait par la main sans lui dire où elle voulait le conduire, il la suivait jusqu’à sa satisfaction et revenait sur ses pas quand elle avait fini. Une femme le tirait par le pan de son vêtement pour lui poser une question à l’écart ?(car il ne touchait jamais les femmes qui lui étaient interdites) il se laissait tirer, répondait et revenait. Paix et salut sur lui !
  11. Il était le plus généreux de tous notamment pendant le mois de Ramadan
  12. Si un pauvre lui demandait quelque chose il la lui donnait et s’il n’avait rien à donner, il lui demandait de l’attendre et revenait avec quelque
  13. Il était doux et tolérant avec les enfants
  14. Il fermait les yeux sur les défauts et ce qui déplaisait ou l’agaçait
  15. Il ne se mettait en colère que pour les droits d’Allah et jamais les siens
  16. Il était le plus humble dans sa manière de parler, de marcher, de s’asseoir
  17. Son regard était toujours plus tourné vers le sol que le ciel
  18. Il était pudique
  19. Lorsqu’il se tournait il le faisait de tout son corps et pas seulement qu’avec son visage car c’est un signe d’arrogance et d’orgueil
  20. Il était toujours pensif, et réfléchissait beaucoup
  21. Il gardait de longs moments le silence
  22. Il ne parlait que pour dire des choses utiles ou méritoires ou pour améliorer l’état d’une personne, d’une chose. Juste des paroles qui peuvent apporter une récompense d’Allah, comme nous le rappelle son Hadith (Tradition prophétique) : “Dis du bien ou garde le silence.”
  23. Il était le premier à saluer quand il rencontrait quelqu’un
  24. Il ne lâchait pas la main de quelqu’un avant qu’il ne la lui lâche après un salut
  25. Il ne se moquait jamais de personne
  26. Il ne s’affalait pas en s’asseyant mais gardait sa dignité
  27. Le dhikr, la mention d’Allah, ne quittait pas sa bouche, en se levant ou en s’asseyant il mentionnait Allah
  28. Il parlait de manière concise et précise, toujours avec un but précis
  29. Rien de la Douniya (de la vie mondaine) ne l’énervait ou l’insupportait tant elle ne valait rien à ses yeux
  30. Il se montrait extrêmement reconnaissant même face à un mimine bienfait, ou une minuscule faveur
  31.  Il ne parlait jamais brusquement, nerveusement
  32. Il ne faisait l’éloge de personne, n’était jamais vulgaire, et ne médisait jamais sur qui que ce soit
  33. Il faisait ressentir à Ses Compagnons qu’ils étaient les plus chers à ses yeux
  34. Plus un mal était grand plus le bien qu’il rendait était encore plus grand
  35. Il faisait comme s’il ne voyait pas les défauts des autres

36. Il faisait passer les besoins avant les siens même lorsque les siens étaient plus urgents

37. Il honorait et s’occupait des orphelins

38. Il donnait de ce qu’il aimait le plus

39. Il honorait les amis de son épouse défunte et leur envoyait des cadeaux

40. Il honorait ses voisins

41. Il répandait le bonheur et les sourires autour de lui

42. Il priait en bien pour ses ennemis dans l’espoir que leur descendance devienne musulmane

43. Il était toujours optimiste et ne faisait jamais désespérer personne

44. Il s’était écarté de trois choses : les polémiques, l’abondance ou l’abus de quoi que ce soit, et e ce qui ne le regardait pas

45. Il ne cherchait jamais à connaître la vie privée des gens

46. Il s’étonnait quand ses compagnons s’étonnaient

47. Il riait quand ses compagnons riaient

48. Quand un étranger était parmi eux, il le faisait se sentir comme un membre d’entre eux

49. Il n’interrompait jamais quelqu’un qui parlait, peu importe son temps de parole

50. Il n’acceptait pas les éloges

51. Il ne faisait rien sans mentionner Allah

52. Il ne se réservait jamais de place spécifique et s’asseyait là où il y avait une place de libre

53. Il se mêlait aux gens et se confondait parmi eux, même pour enseigner quelque chose à tel point que si quelqu’un arrivait de loin il devait demander lequel d’entre eux était Mohamed

54. En sa compagnie, chacun pensait être son préféré tant il prenait soin de chacun

55. Il saluait ses compagnons avec la formule musulmane de salut “as Salam ‘alikoum” même s’ils se retrouvaient après avoir été séparés par un arbre

56. Il ne réservait son indexe que pour le Tachahoud de la prière et ne pointait donc personne du doigt. Il préférait plutôt indiquer quoi que ce soit de sa pleine main droite

57. Quand il s’étonnait il retournait ses deux paumes de mains vers le ciel

58. Il ne disait jamais “Ouff” et ne soupirait jamais d’agacement

59. Il ne se posait jamais pour se reposer ou profiter du temps libre car il était soit au service de sa famille, soit actif au service de sa communauté, soit en adoration

60. Il répondait “labbayk” lorsque un membre de sa famille ou un de ses compagnons l’appelait. Et c’était là un signe d’humilité

61. Lorsqu’il voyait quelqu’un énervé il demandait “pourquoi son front est-il plissé ?”

62. Il donnait des conseils doux et bienveillants en s’adaptant à chaque personne qui était en face de lui

63. Il faisait savoir à sa famille ou à ses compagnons qu’il les aimait

64. Il était très attentif aux petits détails dans les émotions de ses proches

65. Dès qu’un événement le troublait il accourait en prières

Le plus noble des prophètes d’Allah, que la paix et le salut du Tout Miséricordieux soient sur lui, nous a laissé un code de conduite pour nous guider durant toute notre vie si seulement  nous lui accordions plus de temps. L’aimer est une chose, prier sur lui avec les formules de salutations que le Seigneur nous a demandé d’employer et que lui-même nous a appris à dire est un grand bienfait mais quand est-il de notre volonté à nous surpasser pour nous rapprocher de ce qu’il nous a enseigné ?

Ces rappels sur le comportement de notre noble prophète Mohamed, salla Allah ‘alyhi wa salam, doivent nous servir de fil conducteur toute notre vie dans l’espoir de faire partie des personnes dont il sera fier le Jour de la Résurrection. Qu’Allah nous accorde d’en faire partie Amin.

Vous avez aimé ce rappel ? Partagez le autour pour que se propage l’amour du prophète, sallaLah alayi wa salam !

Source :

Tirés de recueil de hadiths

Et Omar Abd Al Kafi

Comment était le prophète Mohamed, paix et salut sur lui ?

Comment était le Mohamed le prophète d’Allah, que la paix et le salut d’Allah soient sur lui ?

Vous vous êtes sûrement demandé à quoi il ressemblait, quels étaient ses traits physiques, et bien sûr comment se comportait-il ? Bien loin de certaines généralités que tout le monde connaît peut-être, nous vous proposons de nous suivre pendant quelques lignes pour mieux visualiser celui sur qui l’on demande à Allah d’étendre Ses Prières et Son Salut. Demandez-le avec nous : Salla Lah ‘alayhi wa sallam !

Dans cet humble article, nous souhaitons vous aider à mieux vous représenter le bien aimé, le noble exemple de toute une communauté grâce à quelques descriptions: celles faites par la famille du prophète et une autre description devenue célèbre dans l’histoire islamique, celle d’une femme rencontrée pour la première fois sur la route de la hijra.

Commençons par cette dernière et penchons-nous ensuite sur les dires de sa noble famille à son sujet et ce qu’ils ont gardé en mémoire de son noble passage à leurs côtés.

Comment le décrit une inconnue ?

Cette inconnue devenue par la suite musulmane était Oummo Ma’bad. Vous vous demandez qui était cette dame qui a laissé dans l’histoire de l’islam une description des plus détaillées et jusqu’à ce jour étudiée et connue de tous les savants en sciences en religieuses? Qu’a t-elle observé en lui lors de cette courte escale devant sa tente alors que son époux était absent ? Et surtout comment le lui a t-elle décrit lorsqu’il lui fit remarquer, à son retour, qu’il ne comprenait pas d’où pouvait provenir tout ce lait dans le seau ?

Ce que vous allez lire ne sont pas là les dires d’une personne habituée à ses assises ou à sa précieuse compagnie à La Mecque. Ce n’est même pas la parole d’une femme musulmane pleine d’amour et d’admiration pour Mohamed, le noble prophète d’Allah.

Remettons les choses dans leur contexte.

C’est là la description d’une femme inconnue, polythéiste, vivant avec son mari Abou Ma’bad, dans le désert d’Arabie, et chez qui notre prophète Mohamed, paix et salut sur lui, s’arrêta de passage sur la route de la Hijra vers Médine, car pris par la soif dans le désert alors qu’il était accompagné de son noble compagnon Abou Bakr et de son serviteur Amir, qu’Allah les agrée.

Elle n’avait jamais vu ces hommes et encore moins Mohamed, le prophète d’Allah, paix et salut d’Allah sur lui.

Après que le prophète, paix et salut sur lui, lui eut demandé si son mari était présent et si elle avait un animal à traire, elle lui répondit que son mari s’était absenté et qu’elle n’avait qu’une chèvre qui ne donnait plus de lait depuis longtemps. Il lui demanda de lui montrer la bête et la permission de la traire.

Il essuya ses mamelles de ses saintes mains et récupéra un seau de lait dont il abreuva la dame en premier, les deux nobles compagnons et se servit en dernier. Puis il récupéra encore du lait qu’il remit à Oummo Ma’bad en lui demandant de le garder pour son mari.

Au retour de ce dernier, il lui demanda d’où provenait ce lait car il n’y avait aucune bête à lait chez lui sauf sa chèvre malade et improductive. Lorsque sa femme lui rétorqua que cela n’était que le résultat que de la visite d’un homme. Il lui demanda de le lui décrire. Voilà la description qu’en a fait cette femme très intelligente qui a pris le temps de l’observer. Ecoutons-la :

“Il était d’une grande beauté. Son visage était lumineux.

Il n’avait pas de ventre.

Sa tête n’était ni trop petite ni trop grande.

Il était d’une bonne taille moyenne.

Ses yeux étaient attirants, d’un noir tranchant avec le blanc de son oeil et ses cils étaient fournis.

Sa voix était belle et douce comme le bruit d’un ruisseau.

Le contour de ses yeux d’un beau noir comme dessinés au Khôl.

Ses sourcils étaient arqués et son cou long et brillant.

Sa barbe n’avait que peu de cheveux blancs.

Quand il se taisait, il impressionnait.

Quand il parlait sa prestance forçait l’émerveillement et il était de toute beauté. Il parlait que très peu, de manière concise et précise comme si des perles sortaient de sa bouche.

De loin il était le plus beau de tous, et de près le plus merveilleux et le meilleur parmi eux.

Ni trop grand au point d’exiger de relever le regard, ni trop petit au point de baisser les yeux, il était le plus agréable à regarder des trois, toujours entouré et protégé par ses Compagnons.

Il n’était pas renfrogné (ne fronçait jamais les sourcils), ni ne soutenait le regard pour critiquer.”

Ibn Kathir cite que son mari, à ses mots, lui cria :

“Par Allah, c’est le Quoraïsh qui est recherché et si je le voyais, certes, je le suivrais et ne manquerais pas de chercher un chemin vers lui”. Ils se rendirent ensuite à Médine et se convertirent.

Rapporté par Al Bayaqi

Voilà la description détaillée de cette femme du désert à qui rien n’a échappé des traits sublimes de notre prophète.

Quelle a été la description des compagnons ?

Selon ibn Abbâs, qu’Allah l’agrée :

« Ses deux incisives centrales laissaient entre elles un interstice qui semblait, lorsqu’il parlait, laisser filtrer une lumière. Quant à son cou, il était aussi beau que celui d’une poupée, faite d’argent pur. Il avait de longs cils, une barbe épaisse, un large front, des sourcils légèrement longs et sans couplage entre eux, un nez aquilin, des joues rebondies et luisantes, le buste droit. Son ventre et sa poitrine étaient glabres (imberbes). Il avait de longs bras et de larges épaules, le ventre et la poitrine en harmonie, la poitrine lisse et large, de longs avant-bras, de larges paumes, les membres du corps sans défectuosité, les talons rarement en contact avec le sol, lorsqu’il se déplaçait. Il marchait sur la pointe des pieds, le corps droit et bien équilibré, de manière fort aisée ».

Ali Ibn Abi Talib, qu’Allah l’agrée, disait de lui :

« Il n’était ni grand au point de paraître étiré, ni petit au point de paraître trapu, donc moyen de taille. Ses cheveux n’étaient ni crépus ni raides, mais ondulés. Son visage n’était ni plein ni rond, mais quelque peu arrondi. Son visage était blanc de peau, quoiqu’il ait des couleurs, ses grands yeux étaient d’un noir vif, tranchant avec le blanc éclatant, et surmontés de longs cils recourbés et noirs. Son ossature était imposante et sa silhouette harmonieuse et il était imberbe du torse, à l’exception d’une fine ligne de duvet qui descendait entre sa poitrine et son nombril. Ses doigts étaient larges, ainsi que ses orteils. Sa démarche était pleine de vitalité, on aurait dit qu’il descendait une pente. Quand il se retournait, il le faisait entièrement. Entre ses épaules se trouvait le sceau de la Prophétie, et il est le sceau des Prophètes . Il avait le cœur le plus généreux et était le plus véridique des hommes, sa nature était la plus douce et il était le plus bienfaisant pour son peuple. Celui qui le voyait pour la première fois était impressionné, et celui qui le fréquentait par connaissance, l’aimait. Je n’ai jamais vu quelqu’un tel que lui, ni avant, ni après ». [Tirmidhi]

Hind Ibn Abi Hala, le fils du premier mariage de notre mère Khadija, décrivit le prophète, paix et salut sur lui, à son neveu Al Hassan Ibn Abi Talib, qu’Allah les agrée tous, comme ceci:

“ Son visage était lumineux et brillait telle une pleine lune. Il n’était ni trop grand ni trop petit. Ses cheveux étaient longs mais ne dépassaient jamais le lobes de ses oreilles, ondulés et doux. Son teint de peau était d’un blanc éclatant, légèrement teinté de rouge. Il avait un large front et des sourcils longs et fins, en dôme, qui ne se rejoignaient pas, avec une veine qui passait entre eux (qui gonflait lorsqu’il était en colère). Son nez était aquilin et brillant, sa bouche charnue et sa dentition éclatante. Son cou était fin d’une belle couleur comme argentée. Son corps était ferme et robuste et son ossature solide. Il n’avait pas de ventre et sa poitrine était large et imberbe à part une fine ligne de poils qui allait jusqu’à son nombril. Il avait de larges paumes de mains, douces comme la soie, ses doigts étaient longs et ses plantes de pieds étaient lisses sur lesquelles l’eau glissait. Il marchait dignement, droit avec une allure rapide comme s’il descendait une pente. Et quand il se retournait il le faisait de tout son corps. Son regard était toujours baissé et il ne fixait rien intensément. Il demandait à Ses Compagnons de marcher devant lui et commençait toujours par saluer celui qui le croisait.”

Lorsque Al Hassan, qu’Allah l’agrée, demanda à son oncle de lui décrire son comportement il continua ainsi :

Le prophète d’Allah, paix et salut sur lui, lorsqu’il était seul, était toujours triste, plongé dans de longues réflexions, et souriant lorsqu’il tenait compagnie à qui que ce soit. Il se taisait durant de longs moments et Il commençait et finissait ses phrases par des paroles concises et claires. Il ne parlait que pour dire quelque chose d’important et ne se mettait en colère que pour les limites d’Allah. Il n’était ni dur en paroles, ni grossier et ne s’étalait pas en éloges et ne discréditait personne devant lui. Il honorait les bienfaits même s’ils étaient insignifiants aux yeux de certains, et, ne relevait rien de mauvais.  Lorsqu’il faisait un signe son geste était complet. Lorsqu’il s’étonnait il retournait ses deux paumes de mains vers le haut. Et lorsqu’il énumérait, il tapait de l’index droit sur la paume de sa main gauche. Et s’il se mettait en colère (jamais pour avoir gain de cause pour lui-même) il tournait son visage. Et lorsqu’il se réjouissait il baissait son regard. Son rire était plus un sourire qui laissait se dégager des dents bien blanches comme les grains de nuage.”

Comme disent les savants si les distances se mesurent en centimètres et en kilomètres, que les poids se mesurent en grammes et kilogrammes, alors les comportements des êtres humains devraient se mesurer à celui de notre bien aimé Mohamed, paix et salut d’Allah sur lui, pour en connaître la valeur.

Nous prions Allah de nous aider à corriger les défaillances de nos comportements en plongeant un plus profond regard dans l’analyse de notre comportement comparé à celui de notre prophète.

Que chacun d’entre nous puise dans la Sunnah pour revivifier notre coeur et notre amour pour lui afin d’être aimé d’Allah comme Il, Gloire à Lui, nous le dit dans ce verset:


« Dis: « si vous aimez vraiment Allah, suivez-moi, Allah vous aimera alors et vous pardonnera vos péchés. Allah est Pardonneur et Miséricordieux.” Sourate 3 Verset 31

Sources :

Omar ‘Abd El Kafi